Lors de ma crise d’adolescence Beaucoup de gens m’ont épaulé M’ont admiré et m’ont rejeté, Un idéal s’était créé ;
Dans mon esprit, dans mes idées, Personne ne peut le nier, Bien qu’ils aient cru qu’ils me pillaient Tous mes principes, tous mes projets ;
Chaque nuit lui revient, Comme un droit qui lui appartient, Et j’oublie tous mes amis ;
Qui m’écoutaient et qui m’aimaient, Mais ce recul me fait comprendre Que l’on m’entoure d’un champ de roses Parmi mes lianes devenues cendres ;
Par ces pensées peu éclairées, J’aimerais les remercier à jamais, Tous ces êtres ont entées chaque minute De comprendre ma solitude et mon agressivité Sans pour autant me voler pensée.