Mes yeux distinguent un très vaste horizon Ou je peux à loisirs guider mes opinions Rien n’est trop beau là-bas qu’un avenir obscure, Mon champ de vision s’arrête aux quatre coins du mur ;
Les hivers se succèdent toujours sans s’arrêter, Ma rage est trop vive, ne veut plus hiberner, Cyborgs et autre robot n’ont plus qu’à rendre leurs boulons, L’automatisme humain a eu de leur vie raison.