Sillons obscures nuisent au parfum des œillets blancs, Des larmes au reflet de lune s’écoulent dans le néant, C’est l’être au visage endurcit par la misère qui s’éteint Dans l’abîme du pénitencier où l’espoir n’est rien ;
L’être devient un homme dans mon cœur tolérant, Ses mains saisissent une arme qu’il fixe sur son tympan Puis ses larmes de chagrin deviennent torrents de haine Sa vie s’envole d’un coup, brise toutes les chaines.