Dans ton corps gras et mou Où l’huile a remplacé le sang Dans ta graisse immonde qui suinte de partout Tu te pavanes sans honte en souriant ;
Monstrueuse créature purulente, Je vomis à l’idée de te voir, Imaginer croiser ta carcasse répugnante, J’en tremble de dégoût, quelle histoire !
La vision est horrible mais t’entendre est bien pire, Egorger une truie serait plus agréable, Que percevoir ta voix et surtout tes rires, Qui dégoulinent de ta vie misérable.