Un jour je franchirai cette porte sublime, Le regard sur mes pas, avançant vers l’abîme, Je ne comprendrai pas ce qu’on murmurera, Seulement qu’au dessous s’étale Marmara.
Deux mondes opposés aussi pusillanimes, Tels deux cœurs expiant d’irréparables crimes, Oh non rien de nouveau sous le soleil de Râ, Aux armes il y a toujours et cetera.
C’est pourtant en ce lieu que mon esprit phosphore Lorsque mènent mes pas au dessus du Bosphore Là j’entrouvre la porte aux mille et une nuits
L’orient, ses parfums, tout je le subodore, Consumera l’encens qui flatte mes ennuis Dévoilant là dorée, oh femme que j’adore.