Il était une fois un prince peu charmant, Qui n’eut à sa naissance aucun don d’une fée, Car bercé seulement par les bras de Morphée, Il dormait tout son soul, jour et nuit quasiment.
Il existe un récit sur ce point similaire, Celui des frères Grimm ou de Charles Perrault ? Une belle endormie y attend son bécot Suite à un sortilège en un cercueil de verre.
Tandis que notre Abel, nul tremblement de terre Ne saurait l’éveiller, ni diable patenté, Ni la foudre ou l’éclair plein d’électricité, Encor moins un baiser ne le mettra d’équerre.
Quelle mouche nous l’a piqué, une tsé-tsé ? -Et la fin de l’histoire ?- Oh ! Personne ne sait.