Qu’importe le flacon, qu’importe le breuvage, L’ivresse retrouvée au détour d’un alcool, Le poison, la cigüe, un vivant vitriol, Le calice à la lie, en guise de sevrage.
La roulette espagnole, encore que la russe, Pour noyer mes chagrins, parfois mes ras-le-bol, Ou mourir comme un chien d’un supplice mongol, De moult harakiris, sans même que je pusse.
Donnez-moi en pâture à tous les nécrophages, Je ne veux pas rester coincé à l’entresol ; Le pur-sang de Méduse, en prenant son envol, Rejoindra-t-il Pégase au dessus des nuages ?
Car pour cet équidé c’est presque un saut de puce, Sauf qu’il y a un hic, juste un petit bémol, Comment toiser l’éther lorsqu’on vient du formol, Pour l’heure je n’ai pas encor trouvé l’astuce.