Blanc comme un cachet d’aspirine Je me dissous dans la bruine Car l’été n’a pas son pareil Pour nous priver de son soleil Oh ! Je sais bien qu’il nous taquine.
Quand sa chaleur est clandestine Ou que le lâche se débine Il faut demeurer en éveil S’il venait pendant le sommeil La lune aurait mauvaise mine.
Enfin l’été.
Ah si vous voyiez ma cousine Qui a tout d’une citadine, Mettre le nez ou un orteil Dehors, pour prendre le soleil, Choper l’angine de poitrine.