Si le cœur t’en dit, viens ! Tu es la bienvenue, Pour partager ma vie et mon quotidien A deux, on est plus fort, je serai ton soutien, Viens ! Si le cœur t’en dit, toi ma belle inconnue.
Ô si avec le temps, le désir diminue, Il reste sans savoir peut-être encore un lien, Je t’en prie effaçons ce grand mur mitoyen Coupant nos vies en deux, que cela continue.
Je ne te forcerai pas la main, oh ! Mais viens, Et ne formons plus qu’un, ainsi que deux vauriens, Oublions le désert d’une vie affective.
Bien que nous ne soyons plus des enfants de chœur, L’harmonie entre-nous est réelle, effective, Mais surtout ne viens pas, si c’est à contrecœur.