Face au mur, mur de mon désespoir silencieux Tu ma fais découvrir se que les autres mon fait Fuir ; Je pars loin de mon âme, loin dans mes larmes Forcer de voire sa vie mise a pied dans ces mains
Mon esprit vogue vert une mer sans paisibles escales Je ne suis pas près à rentrer ! Mais sur le vide Pressant Mes tempes, la chaleur fossile de son souffle Hante ma raison défendue de blanc lin seul
Ho ! Nuit des songes ! Tu ne peut croire se que je dit La nuit tombe !