Elle est belle, belle, encore plus belle; Les narcisses -elles même- le savent, Laissant à nues leurs jalousie, Elles préfèrent regarder le ciel.
Elle; elle est mon tout- mais aussi l'inaccessible- ; Je me suis perdu dans les méandres de l'amour, Sans pouvoir pénétrer son cœur… Je me suis perdu dès que l’ai connu. Pour la vie Jusqu'a la mort, Dans mes rêves elle me le promettait; Je suis picoré d'un mal Dont l'antidote serais son âme
L'or de ses deux yeux coulent À flot,
Mon coeur est en dérive Telle- -menttirer que je meurs...
Le flux des vagues… Sur mon corps… Étouffent… Pffou...