Vivre ; pour jouir de savoirs inaccessibles ; Vivre ? Pour nourrir mes remords indicibles. Livre tes démons pour que débute l’aube ; Livre : Si ta vie ne veut plus t’être inconnue.
L’objets de mes torts turent mes esprits infini... Écarteler- mon corps pli dans l’indéfini -? Pendu au le souffle acre de tes larmes Je pence, T’avoir mis a nu sans t’avoir connu.
Des vertes prairies, bourgeonnant mon cœur de violettes, Elles assombrissent la terre dévouée aux pâquerettes : Mais, dans le font ! Les herbes épineuses fleurissent. Ise, En pouvoir la genèse des cœurs mal connus
Ouvrir et suicider ses angoisses mortifères, Rester ! Avec cette peur- qui flirte proche des enfers-, Peur de mourir seule dans ma prison osseuse, Je creuse, De seconds en heures, des temps méconnus.