L’amour me court après et je cours apres lui Un jeu ou la Raison ne dicte pas sa loi Une ronde endiablée rythmée par la Folie Pourquoi ?
La vie fait la coquine et cache ses secrets Dans les plis de sa robe ou je glissais mes doigts Pour les retirer noirs de geais, blancs comme craie Pourquoi ?
Le monde est paraît-il a l’image de l’homme Mais moi de ma fenêtre, embuée par ma voix J’aperçois des lueurs que seul un Dieu nomme. Pourquoi ?
Ce monde je le veux jalonné de symboles Car sinon a quoi bon? L’amour resterait coit, Et la vie appauvrie ne vaudrait point d’obole, Je crois.