Demain, déjà , je dois franchir la porte Qui m'emmène en partance vers un monde meilleur Et ne croyez, amis , que mon âme soit morte, Elle s'envolera, libre de toute peur.
En suivant patiemment le chemin vers ailleurs, Je serai libre, enfin, de toutes mes douleurs Et mon corps disparu, ainsi que toute peine, Je serai avec vous, dans vos cœurs, dans vos veines.
Ainsi glisse la vie dans la barque du temps Et le père se meurt, place aux petits enfants.