Il semble que depuis longtemps je te connaisse : Les coins des rues, ...même les plaies des maisons. Tu me plaisais, c’est si étrange ! Ta vision Apparut dans les années de ma jeunesse.
La lumière tendre inonde ta place ancienne, Vers le Sacré-Cœur marchent ...marchent des gens. Tes cafés – pleins de secrets où rien n’est urgent... À tes pieds, Paris bouge épris de la Seine.
Une belle ville, enfin une immense gare. C’est du monde entier qu’on y arrive... La joie D’une fête sans fin... Il y a, à la fois, Les tours, les cabarets, les musées des arts.
Sur ta butte, je m’imagine souvent Un soir et de beaux arbres dans le brouillard, Un bistrot et le vin sceptique d’un vieillard Qui sait : l’amour et les talents – tout s’y vend...
Tu as connu d’innombrables célébrités – Des hommes et des femmes dignes de gloire... Tant de beaux rêves ...pour rester dans ta mémoire ! Enfin, tu les as vraiment tous abrités...