Tel un livre, je lis ton passé glorieux – D’innombrables fois, tu as repris ton histoire... Une vie comble de pertes, de victoires – Une image du monde dans un miroir vieux.
Les siècles déferlent sur tes longues rives. Richards et pauvres aspirent à vivre en toi : En château, bidonville ou n’importe quoi... Tant de rêves de gloire avant qu’on n’y arrive !
Peintres, artistes, poètes, tous – sans fin – T’apportent leurs cœurs et leurs plus chers espoirs. Un matin prometteur devient vite “soir”, Car le Temps impassible engloutit tout enfin...
Vivre en toi ? – Un instant beau de l’univers Sur ta grande scène... Je t’offre aussi mes vers.