Et peut-être étions-nous des oiseaux d’antan Qui se caressaient à l’aube de leurs ailes amoureuses Et qui volaient au-dessus des blés mûris aux champs, Enivrés par l’amour, dans la nue bleue lumineuse.
Quand tu es près de moi, je m’envole tout enchantée, Dans mes yeux se lèvent des rêves rayonnants Et notre sang ressent des souvenirs d’Antée. Peut-être sommes-nous des oiseaux d’antan...
Le 1er juillet 1979
* * * Ce poème est écrit en langue bulgare par MARIANA NIKOLOVA (1953) de Sophia. Traductrice d'anglais et de polonais.
Recueils de poèmes en bulgare : - J’aime la pluie soudaine (1994), - Mon âme ressemble à la tienne (1996) - Dans le jardin de mon âme (1998),
Essais : - Réflexions sur l’écologie de l’esprit (1999), - Être et Devenir (2001),
Roman : Condamnés à vivre (2004)
Edition bilingue - français et bulgare : - Mon âme aime (1999), coll. “De la Source pure” et - vol. 3 - 2003 de la revue "Les Lettres Bulgares" (site : http://pismena.net.co.nr)