Les tout petits grains de mon sablier Très lentement tombent en faisant Le fil fin et à peine perceptible D’une existence qui s’étend Du Ciel jusqu’à la Terre. Et un dernier grain Y mettra fin. J’ Accepte Mon sort, moi. Je n’ai jamais oublié Le rêve et la sublime joie, Le sens Divin de la vie entière : De travailler sans cesse ardemment Pour que chaque grain qui tombe soit Vraiment une LARME de la L U M I E R E.