Je veux de ce jour dessiner ton sourire. Je vais de ce pas me rapprocher de tes yeux, Mais puisque tu m'interdis ton regard merveilleux, Je chanterai à tue-tête pour me nourrir
De ton souvenir, de ta mélancolie Car si par malheur ou par infamie J'ose te faire pleurer Jamais je ne te regarderai
De peur de ne pouvoir t'aimer. Tu es comme la voix qui appelle le chant. Tu es comme le pas qui emboite la danse Et tu es pour moi l'aimant Qui toujours dans le cœur le met en transe.