Une idylle utopique de belles îles des tropiques ; C’est que ce dont je rêve s’efface puis s’enlève Pour faire place à la masse de pensées ironiques Sur ma vie pleine d’envies interdites... Je me lève.
Le matin, rien de bien : des soupirs sans fin M’empêchent de sombrer dans le péché du sommeil Pour arriver au repas de midi ; enfin ! Je mange goulûment myrtilles et groseilles.
Un après-midi de folie vite passé, Pour construire le futur et passer le passé, Espérer en une nouvelle nuit magique.
Affrontant le dîner comme passage obligé, Je me couche aussitôt pour pouvoir rêver D’une idylle utopique de belles îles des tropiques.