Une terre atmosphérique devient rouge sombre; La vue se trouble sur les cimes enneigées; Des pas empruntent les chemins des ombres; Suivent les fumées s’échappant des toits brûlés; Première clarté : un village plongé dans la violence; Où les meurtres oubliés coulent avec abondance; Triste scène, mise en scène pour certain; Quête d’un pouvoir déjà obtenu, c’est certain; Informations erronées et source de mal-information; L’histoire montre pourtant la voie et fait mention; D’un désir de liberté, de droits et de croyance; Où la recherche de pouvoir et d’argent fait défaillance. Politique démesurée, focalisation sur de faux semblants; Un peuple se meurt, les autres en sont conscients; Le collier du pouvoir presse les chiens enragés; L’argent rouge muselle les pays alertés; Les voix s’élèvent et montrent du doigt; Le début, la suite et la continuité sans lois; D’une oppression tyrannique sans foi/// Non loin de la chaleur des flammes; L’artisan héritier de son royaume; Se terre et maudit les partisans; Ces chiens enfiévrés nourris de haine et de sang; Qui croient défendre des valeurs en leurs noms; Mais l’artisan connaît bien ces démons; Ces vaux rien sans travail, ces êtres si différents; Comme si croire aujourd’hui était suffisant; Il sait lui où se trouve la vérité; Quoiqu’en disent les étrangers du monde entier; Il sait lui où trouver cette liberté; Il sait lui où se trouve la vérité, Quoiqu’en disent les étrangers du monde entier Il sait lui où trouver cette liberté Quoique montrent les étrangers du monde entier Il sait lui que c’est la faute des ces enragés Ces animaux qui ne méritent pas l’attention Que du mépris, disgrâce sans compassion Il sait où ils veulent en arriver Avoir le pouvoir sans le mériter Mais ils finiront bien par payer Comme le dit son pays Dans quelques jours tout sera fini/// Le moine se lève et ne peut croire Tant de violence des siens, contre cette oppression Lui qui ne pensait que suivre son maître, sa passion Se retrouve menotté, la bouche en sang et plein d’espoir. Le monde est en train de se réveiller pense-t-il Dans ce cas, souffrances et supplices peuvent-ils êtres util S’engager dans cette lutte fut pour lui un devoir Celui de David contre Goliath que personne ne voulait voir Les médias du monde entier sont derrière lui désormais Lui qui ne demande qu’égalité et respect D’un culte millénaire, de rites ancestraux D’une philosophie où le pouvoir est de trop Il est temps de les laisser vivre en paix L’indépendance ne sera toujours qu’un seul rêve La liberté de vivre et de croire selon leurs souhaits Le moine ne verra peut être pas le jour de la trêve Il le sait mais espère que ce sacrifice Ne passera pas comme un artifice