Revoici la faune des beaux quartiers réunie. Les belles s’égosillent et se pâment, regard en coin. Les belles d’égo scient à l’envers la chair, la mie, L’ivoire de leur bouche, brûlant le pourpoint.
Voici des messieurs en tenues d’égo souple, Arborant lunettes noires, et gaules d’ébène, Dégauchissant le monde qui tourne comme la déveine, Dégobillant le fiel, de la hyène qui s’accouple.