Son visage poudré suintait le plastique, Son sourire figé comme une poupée morte, Contenaient les cendres d'un songe anorganique. J'ai regardé son ventre, ses seins pour qu'ils m'emportent
J'ai voulu ses cheveux de nuit, mordre ses bras Cligner des yeux pour qu'elle sourie sans un mouvement. J'ai touché le plafond de livides entrelacs. Tendant à ses yeux de résine, tous mes instants.
Je n'ai pas dormi, brûlant de toucher ses courbes. Elles se sont arrondies à mes tièdes saveurs D’emballages d'usine, de diodes et de famine. J'avais faim, j'ai senti son odieux percuteur.