J'aime ton chez toi, ta lumière, et j'aime ta voix J'aime quand tu hésites et cherches je ne sais quoi Mais l'instant qui m'emporte l'âme C'est quand je te vois monter vers ta chambre haute C'est quand je te vois monter vers là-haut
J'aime bien quand tu t'apprêtes en bas, pour moi J'aime entendre l'écho qui accompagne tes ébats Mais c'est mieux quand je sens ton regard éperdu M'invitant à te suivre là-bas M'invitant à te joindre là-haut
Je suis dingue de toi, de ta démarche, de tes hanches Quand tu montes la spirale la plus troublante au monde Et que fière et suprême et pourtant douce et fragile Tu montes et m'aspires vers ta joie Tu montes et m'inspires la joie
Et je monte le ciel sur ton escalier Prolongeant l'échelle de mes jeunesses passées Et je poursuis l'ascension avec toute la passion Que toi, merveille, tu éveilles en moi Je puise en toi plus qu'en moi