Entre nos vies jonchées d'indices, Le destin a posé de conceptuels interstices. Entre l'idéal que j'ai tant rêvé Et le Réel:des espaces,des cheminées.
Entre ma vie et les rapports des coulisses, Je vois un abîme fort grand,un fossé. Entre en mon être par son escalier Et vois les routines ordinaires de ses batisses.
Entre!Escalade ces ordures,ces immondices, Apparences que l'oui-dire a posées; Tu arpenteras au-délà,des carrelages lisses, Dompteras des fauteuils acceuillants et rembourrés.
Entre!Entends cette invite bis! Pour te recevoir,j'ai préparé du thé. Du thé dans ces affreuses batisses!!! Tu vois,le peuple a vite fait de juger.