En ces temps où je titubais de chagrin et de détresse Ame en peine abandonnée aux portes du vide béant Il me fallait marcher quand même avec adresse Pour ne pas sombrer dans ce qui fut triste néant.
Guidé par d'étonnantes lucioles astrales au zénith Je me voyais reconduis dans les sens de mon coeur Comme si ces gargouilles et autres créatures de Lilith N'avaient pu me vaincre par leurs tristes terreurs.
Mais un destin devait implicitement intervenir Et exorciser toutes ses angoisses harassantes Qui troublaient mon coeur de leurs ailes pesantes Et sans qui j'aurais pu tout simplement... Mourir !