La lune sur mon corps penaud se repose Mon cœur absent, las, ne dit mot Plus de poésie, plus de prose Il est à tes côtés angelot
Te veillant la nuit sans se fatiguer Veillant tes songes et ton corps Te berçant sans te réveiller Te couvrant, il fait si froid dehors
Au matin d’un baiser, je te laisse te réveiller Quittant ta chambre aux premières lueurs De ce jour si beau qui vient de se lever J’aurais tant fait pour préserver ces heures
Ne craint rien angelot ce soir je reviens Rien ne change, rien ne changera A tes côtés je me sens si bien Que rien ne t’effacera.