On peine à rendre la vie plus gaie Car les temps sont difficiles et durs ; Or ne sont fréquents que des mecs obscurs ; Et, à cause d’eux on rame, on pagaie.
Faut-il les embrocher avec une sagaie, Plus encore, leur briser les fémurs ? Tant ils salissent l’azur ces impurs Et nous envahissent comme l’ivraie.
Vois-tu ces enflammés de jalousie, De vanité tomber en frénésie Et leurs âmes brûler de dédain ?
Trop peu d’esprit et d’un excès de zèle ; Ils se prosternent pour baiser la main Du seigneur qui les jette à la poubelle.