Quand le zéphyr du matin vient à caresser les roses Et, tout en douceur, leur chuchote que les autres fleurs Ont déjà déplié leurs corolles d'or, Voilà que seul est heureux celui qui regarde Pointer les premiers rayons du printanier soleil, Saisit son âme, ouvre son cœur et, enfin, Découvre la splendeur du monde Et s’afflige de ne pouvoir freiner ses « détraqueurs ». Mais, tant de roses nous consolent, Tant de lèvres s’offrent à d'autres lèvres Dans un élan d'amour sans pourtant se soucier Que les oiseaux ont, peut-être, cessé de chanter.