Gravir encore cette montagne Remplir les poumons d’air frais et léger Puis découvrir, là-bas, à travers la clairière Le miroir éternel du céleste azur Le scintillement des feuilles du chêne À la lumière éblouissante du matin Côte à côte s’asseoir sur le rocher Écouter gazouiller les oiseaux Être témoins de l’infinie harmonie De cette musique avec le souffle dans les branchages Sentir l’amour encore baigner les cœurs Voguer dans le rêve au-delà des sommets Un fantasme que rien ne pourra troubler Même pas ce cri perçant du singe angoissé.