La vêture flétrie, accuse la beauté Aux labours des sillons, l'Automne du visage Et ce que la Nature enviait du bel Âge A la jeunesse fière, il fut le masque ôté.
Miroir, ô, nu miroir, voile ta cruauté Et de ce portrait las, fais vivant paysage Afin qu'aux pleurs des yeux, l'Aile belle surnage Et que le cœur amer en son port accosté
Lève l'ancre et sa chaîne en ses profonds abysses Où sommeille d'un œil le souvenir latent Des monstruosités de nos vains sacrifices.
Par le faix amoindri du paraître important, Il se faut les cerner ces probables prémisses ; L'Âme en ses doux reflets* survit aux artifices!