J’ai monté les marches et je me suis arrêté J’ai regardé devant moi, contemplant l’immensité A mes pieds s’étendait la cité perdue, comme une Atlantide Elle semblait habitée et dévastée, emplie d’êtres cupides.
Le Cirque qui s’y élève encore domine autour de lui Resté fier dans les âges, il résonne encore des clameurs Des citoyens qui buvaient la cruauté jusqu’à la nuit Des courses de chars, des combats de Gladiateurs
Ton épée se dresse encore, désignant la plus brillante L’étoile polaire qui indique la chemin aux voyageurs Guerrier que seul l’âge a vaincu, sous la Scintillante La Lune offensée par tant de sang versé par honneur.
Mon esprit se perd sur la ville d’Anhaïa Décombres d’une civilisation si lointaine Où les hommes se tenaient simplement là N’ayant aucun travail et aucune peine.
Les Esclaves ici se sont révoltés , Ici, Spartacus les a menés En guerre, en batailles acharnées Simplement pour un peu de liberté.