Perdue, déchirée, poignardée en plein cœur Oh mon frère vos assassines paroles Me criblent de fines et tranchantes lames d’horreur Comme vous pouvez être cruel sous votre auréole
D’ ange à l’air sympathique, et a l’esprit tortionnaire Qu’il serait bon une seule fois de vous voir torturé Sous la glace qui nous sépare pourrons nous trouver Un lien fraternel, pur et réellement sincère ?
Je doute de vôtre âme comme de la mienne Prenez pour vous vos acides remarques Être cupide de mon sang vous en conviennes ;
Je vivrai face à vous, froide et glaciale Daignant vous répondre par ces mots qui claquent Dans le froid mordant de cette guerre idéale…