Je suis dans l'haillon de nuit mordant Au froid étoilé d'une nocturne crispé Mes jambes gelés sans confort à mes pieds Cherche le repos d'une âme recroquevillé
Là je les sens, tout ces braves Qui bravent les austères nuits Dans de baveux monastère, nuisant La pierre de la vie, au mont de sa survie
J'ai froid, j'ai faim, le ciel est beau à mes yeux