Du soleil Les rayons sont Tes chevaux, De la mer Les ondes Tes yeux. Pendent que je te cherche Loin de la frénésie de chaque jour, Tu restes Assise sur la superbe beauté Qui te rend phare De mon prométhéen vagabondage. Et quand, fatigué, j’arrive à toi, Je dis rien. Il ne reste que le silence pour t’admirer.