Se cambrant, bondissant À travers les cieux, ramure éclatante, Le cerf impose sa seigneurie, Et en approchant fait taire Les faibles dans son domaine mortel Pour que tous, durant ses années De règne, s'émerveillent.
La Terre de la biche contraste Quand elle se repose pattes repliées Et regarde tout, oreilles dressées, Avec ses yeux noirs et maternels Qui en eux-mêmes renferment L'ombre des forêts éternelles.