Quand viennent les gelées, les ténèbres et la cendre, nulle pancarte ne nous protège plus. Vous savez, ces petites étiquettes rassurantes qui nous enferment dans des cases : métier, statut social, apparence ... Alors, on se trouve nu dans L’Art et c’est nu que l’on plonge dans l’onde, aux sources de l’humain, histoire des êtres qui creusent leurs tombes... Puis renaissent dans l’eau glaciale... On se raccroche aux branches, aux regards non évaporés, à l’amour, aux lueurs du soir, aux éclats d’éternité, à la magie du paysage aux sourires des aimés... On savoure la joie de l’Éden retrouvé.