Toi qui veillais sur moi aux portes de la mort, Toi qui hurlais de joie à mes retours de l’enfer, Tu m’as tant attendue, Tu m’as tant portée, Pour certains tu n’étais qu’une chienne, Pour moi tu étais un ange. Ne crains rien : Là où demeure ton âme, Je te retrouverai dans quelques sabliers, Au cœur de mille néants…