L’oiseau « liberté » Aux ailes en sang, lardées d’entailles À trouvé refuge loin des hommes Qui ne pensent qu’à le chasser Depuis la nuit des temps. Désormais la vie sera terne, Terre à terre, Dépouillée de son oxygène. La liberté s’est enfuie, Elle est à jamais hors d’atteinte Dans les nuages À moins que les humains ne s’unissent Pour lui demander pardon Au nom de toute l’humanité Dans un chant de fraternité universelle Toutes armes à terre Tous cœurs à l’unisson.