Trop de femmes s'écoulent dans les eaux mortes du monde. Le ciel pleut en silence des lames de safran. Les mots, vains, se recueillent, sidérés, pétrifiés impuissants à contrer les larmes et la douleur. Le soleil s'incline et tente de panser de ses rayons ambrés quelques plaies assassines... Demain il fera jour mais la nuit reviendra sacrifiant chaque fois un regard, un amour.