Entre les assauts de la mort et les crocs aiguisés des passions, j’ai l’âme bien rabotée. Ces idylles funestes qui m’embrasent, me liment à vif : est-ce bien raisonnable... de vivre ? Je devrais m’assagir, je prendrai le temps d’y songer dans quelques sabliers six pieds sous terre et encore...