Je sens d’ici les brûlures qui naviguent sous ta peau, Les battements fous de ton cœur qui hurlent en silence Dans leur prison dorée, Je sens la souffrance qui nourrit ta force créatrice Et ta vulnérabilité, Je sens ta fougue d’homme, Ta sensualité fiévreuse Comme une rivière trop contenue Prête à déborder... C’est inattendu, C’est inexplicable... Je te sais.