Parfois la vie meurt comme un bouton de rose Arraché par la mâchoire d’un géant. La tige rompue à la base, Le sang Qui s’écoule du cœur blafard, Les pétales qui pleurent le temps Qui les piétine et les avale Dans son gouffre de Léviathan... À ceux qui ont mal, Je tends Ma main lardée de cicatrices. Je tue Le néant.