Il y a parfois en l’autre un oiseau qui saigne, un cri étouffé dans un tiroir. Au premier pas, on peut s’y méprendre et croire qu’il nous jette son sang au visage mais souvent, bien souvent c’est juste un morceau de ciel qui jaillit d’une de ses morts, une hémorragie en fontaine, le chant d’un météore.