Coups de cœurs, coups de crocs, Dualité qui brûle sous nos peaux, Destin fou qui nous fit ange et démon, Ténèbres qui nous inondent De passions sanguinaires, Jetant l'empathie en prison. Où donc est la force de l'ange ? L'ange est celui qui se maîtrise, Qui jette au feu sa part de destruction Pour faire triompher la lumière qui irise, Au nom de l'éternel Amour, Nos veines lacérées et meurtries De mille constellations.