La mort avance à grand fracas. Ses pas de monstre et ses flammes réduisent en cendres la joie, ouvrent la porte aux larmes... Ces vies volées en éclat, ces enfants qui ne verront plus le soleil prisonnier des rois qui se l’arrachent à corps perdus... Et l’absurde qui se répand comme une vague de lave la terrible malédiction des pulsions macabres, les hommes d’un bord et de l’autre que l’on force à prendre les armes alors qu’ils ne rêvaient que d’amour sur une plage de sable... Que plus que jamais renaisse l’écho des colombes, la saveur des roses qu’elles portent au monde et que les portes s’ouvrent en grand sur l’espérance.