L’enfer répand sur le monde sa poudre de néant fade, ses pluies de tisons, tout sombre dans le tourbillon de l’infâme mais au cœur de l’apocalypse résonne la voix des héros : La mort peut bien tout brûler. perforer les poumons de l’espoir, arracher les ailes des anges et réduire en cendres les cieux, Il y aura toujours un regard qui resurgira du temps, dans les vagues de mille hasards il y aura toujours le sang qui palpite et crie dans les veines : À la vie, éternellement.