Humer le crépuscule, Le vent, les nuages froids de la nuit Avec un grand feu de joie dans l’âme Et les cicatrices qui tiraillent Mais luisent de mille étoiles, L’esprit de la louve libre Qui flambe dans le regard... Ainsi parle le temps Dans le grand coquillage : « N’est fort que celui qui a affronté le gouffre Et pansé ses failles.