Mourir comme une étoile à peine évaporée, Comme ces âmes bleues ayant rejoint le vent, Comme le souvenir de mille mots gravés Par des fantômes fous, inscrits dans l’air du temps,
Mourir comme tous ceux qui ont offert leur sève Pour noircir de leur sang l’immense parchemin, Palimpseste des morts, palimpseste des rêves, Et ne jamais mourir, voler vers le Destin…