Nous sommes tous le même éphémère de passage dans cette vie mystérieuse, le temps lacère nos ailes et l'on en prend, des coups de lames, On danse dans l'air du printemps, déjà vient le temps des Adieux, à peine le temps de se dire comme le ciel est bleu comme la guerre est larmes comme il fait bon se réfugier dans un regard d’étoiles, se réchauffer au soleil et boire l'air du couchant... Déjà l’orage menace mais sur nos ailes brille encore l'espoir de l'été entre les points de glace.